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3 questions à Irene Pasquinelli (M2014)
Élève brillante, Irene a commencé en Master I au Centre de Mathématiques Laurent Schwartz de l’X (CMLS) et poursuit cette année en Master II à Orsay.
Pourquoi avoir choisi d’intégrer l’École polytechnique ?
Dans mon université, il était de bon ton de partir étudier à l’étranger, afin d’approfondir ses connaissances. L’École polytechnique m’a été vivement recommandée par mes professeurs à Rome. De plus, l’offre de cours de l’X ainsi que l’importance donnée aux stages de recherche m’ont conquise.
Si vous aviez trois adjectifs pour qualifier l’X, lesquels choisiriez-vous ?
Cosmopolite : à l’X, il y a de nombreuses nationalités, on peut rencontrer des élèves de tous pays : Rwanda, Nigeria, Chine, Indonésie… Je n’avais jamais pensé un jour me faire des amis provenant des quatre coins du monde. Cette mixité des cultures et des origines est passionnante, puisque, grâce à elle, on s’habitue à mieux comprendre les autres et à partager nos savoirs.
Excellence : pour le niveau enseigné à l’École polytechnique de très haute qualité. Le suivi avec les professeurs, à la différence d’autres écoles, est également formidable. Nous avons un accompagnement très précieux tout au long de notre scolarité.
Appartenance : pour le fort sentiment d’appartenance qui me lie à l’École polytechnique et aux autres élèves. Aujourd’hui, je me sens Polytechnicienne car je partage les mêmes valeurs que mon École et mes camarades.
Qu’est-ce que la bourse attribuée par la Fondation représente pour vous ?
J’ai toujours voulu faire de la recherche de haut niveau en mathématiques, mais les sacrifices financiers imposés à ma famille pour me permettre d’aller dans les meilleurs établissements me paraissaient trop conséquents. Je n’étais donc pas sûre d’aller au bout de mes envies professionnelles. Cette bourse d’études a changé ma vie. Je remercie infiniment tous ceux qui me permettent d’avancer, et à travers moi de faire avancer la recherche en mathématiques. A mon tour, je serai bien sûre prête à donner à ceux qui, comme moi, ont des ambitions, mais n’en ont pas toujours les moyens.