Avec 95 % des diplômés en poste moins de six mois après la fin de leur MSc&T, l’enquête 2025 confirme l’excellente insertion professionnelle des étudiants, majoritairement dans l’industrie, le conseil et la finance. Le programme séduit par son ouverture internationale, sa diversité de débouchés et la qualité des emplois obtenus, souvent avant même la fin des études.
24 avr. 2025
Éducation, Master
L’enquête menée en 2024 auprès des diplômés 2023 du programme MSc&T de l’École polytechnique confirme l’excellente insertion professionnelle de ces profils hybrides, à la croisée des sciences, de la technologie et du management.
Une entrée rapide dans le monde professionnel
Parmi les 167 diplômés sollicités, 97 ont répondu à l’enquête. Pour plus des deux tiers (68%), ils ont rejoint le monde de l’entreprise. Parmi ces derniers, 95 % occupent un poste dans les six mois suivant l’obtention de leur diplôme, témoignant de la pertinence de leur formation sur un marché de l’emploi exigeant. En parallèle, 79 % des embauches se font en CDI, un signe clair de la confiance des recruteurs envers les profils MSc&T.
Des secteurs variés et une rémunération attractive
Les diplômés recrutés en entreprise s’insèrent principalement dans l’industrie (46 %), le conseil (26 %) et la finance (21 %). La rémunération annuelle moyenne s’élève à 51 000 € brut en France, confirmant l’attractivité économique de ces cursus. Une part non négligeable (20 %) est recrutée dans des entreprises où les diplômés avaient déjà effectué un stage.
Une insertion à dimension internationale
La France demeure la destination privilégiée de 72 % des diplômés, mais une part significative débute leur carrière ailleurs au sein de la zone euro (10 %), au Royaume-Uni (5 %) ou en Amérique du Nord (5 %), témoignant de la dimension internationale du programme et de ses étudiants.
Poursuites d’études et entrepreneuriat : la diversité des parcours
Parmi les diplômés qui ont répondu à l'enquête, 54 ont choisi de poursuivre leurs études ou de s’engager dans un doctorat, confirmant l’ouverture académique du programme. Enfin, 6% d’entre eux se lancent dans l’aventure entrepreneuriale, faisant émerger de nouveaux projets, souvent issus du secteur technologique.