La série les X pour la planète propose de présenter les parcours ou les initiatives de polytechniciens qui ont œuvré et œuvre encore à préparer un monde plus soutenable. Elle comporte cinq volets : Les Précurseurs, les Entrepreneurs, les Chercheurs, les Acteurs et les Managers. Parmi les précurseurs, George Fabre, promoteur à partir de 1875 du reboisement du Massif de l’Aigoual, dans le sud du Massif central.
La série les X pour la planète propose de présenter les parcours ou les initiatives de polytechniciens qui ont œuvré et œuvre encore à préparer un monde plus soutenable. Elle comporte cinq volets : Les Précurseurs, les Entrepreneurs, les Chercheurs, les Acteurs et les Managers. Au cœur de cet épisode des Précurseurs, la dynastie des Becquerel, qui de l’influence des forêts sur le climat à la découverte de la radioactivité naturelle en passant par celle de l’effet photovoltaïque, alimente, sans l’avoir toujours voulu, les vifs débats et controverses sur les modalités de la transition énergétique.
La série les X pour la planète propose de présenter les parcours ou les initiatives de polytechniciens qui ont œuvré et œuvre encore à préparer un monde plus soutenable. Elle comporte cinq volets : Les Précurseurs, les Entrepreneurs, les Chercheurs, les Acteurs et les Managers. Cet épisode est consacré à un Précurseur, François Arago. Fabien Locher, historien de l’environnement, chercheur au CNRS et co-auteur avec Jean-Baptiste Fressoz de l’ouvrage « Les Révoltes du ciel, une histoire passionnante du changement climatique entre le XVe et le XXe siècle », revient sur l’engagement d’un des premiers polytechniciens en faveur de la défense du climat.
Josselin Garnier, chercheur au Centre de mathématiques appliquées (CMAP) et Sandrine Bony, directrice de recherche au CNRS au sein du Laboratoire de météorologie dynamique (LMD) figurent parmi les 18 scientifiques nouvellement élus à l’Académie des sciences.
Cinq premiers épisodes d’une série sur les parcours ou les initiatives de polytechniciens qui ont œuvré et œuvrent encore à préparer un monde plus soutenable, sont désormais accessibles. Cette série, qui s’enrichira au fil des mois, comporte cinq volets : Les Précurseurs, les Entrepreneurs, les Chercheurs, les Acteurs et les Managers.
Mistral AI, pépite française de l’Intelligence Articificielle, co-fondée en février par deux X2011, Arthur Mensch et Guillaume Lample et un Normalien, Timothée Lacroix, a levée en huit mois d’existence près de 500 millions d’euros portée par l’engouement au tour de l’IA depuis l’apparition de ChatGPT en novembre 2022.
Plusieurs des start-up développant des réacteurs nucléaires innovants et soutenues par le gouvernement français dans le cadre du Plan France 2030 ont été co-fondées ou sont accompagnées par des alumni de l’X.
Dix-neuf élèves ingénieurs polytechniciens ont participé, le 24 novembre, à la 4ème édition du Forum innovation défense (FID), organisé à Paris par le ministères des Armées, tutelle de l’École polytechnique.
Créé par trois alumni de l’École polytechnique, l’événement dédié au spatial, à ses acteurs et à son exploration se déroule du 17 au 19 novembre sur le campus de l’École. L’accueil du SpaceCon 2023 illustre la forte mobilisation de l’X dans ses missions de recherche, de formation et d’innovation pour relever les défis les plus ambitieux dans ce domaine.
L’École polytechnique collabore depuis octobre 2022 avec l’École Penninghen pour donner corps à un démonstrateur du programme XSeaO2, financé par le fonds Ifker, et visant à valoriser du CO2 dissous dans de l’eau de mer pour produire du carburant synthétique. Le projet Nautilus conçu par des étudiants de l’École Penninghen pour imaginer le design du capteur a été retenu.
Le projet WHIRLS, qui étudie le rôle des tourbillons océaniques sur le climat, figure parmi les 37 projets bénéficiant d’une bourse Synergy dévoilés le 26 octobre par le European Research Council (ERC). Sabrina Speich de l’École Normale Supérieure de Paris et chercheuse au Laboratoire de Météorologie Dynamique (LMD) mène ce projet avec trois autres chercheurs.
En tête des classements des Écoles d’ingénieurs françaises d’excellence, l’X assure à ses élèves ingénieurs une rémunération moyenne brute de près de 45% supérieure à celle des autres Écoles d’ingénieurs. Les ingénieurs diplômés de l’X se destinent pour autant pour près d’un tiers à la recherche contribuant fortement au rayonnement scientifique et technologique français.